Dans une friperie joyeuse aux allures punk, deux vendeurs, Bianca et Noé, découvrent que leur collègue et amie, Pen’, a été blessée. Même si la plaie est superficielle, les trois amis comptent bien obtenir réparation ! Armés de leurs grosses chaussures et de leur détermination, ils se rendent dans un château non loin. Dans un grand hall, ils trouvent la coupable : une escrimeuse chevronnée, Méduse, occupée à s’entraîner avec deux autres compétiteurs. Un combat d’escrime improvisé s’engage. Bien que les vendeurs punks n’aient pas les compétences d’armes des châtelains, ils débordent d’une rage telle, accumulée par des années de mépris de classe, qu’ils pourraient bien mettre à mal leurs adversaires.

Années 1850, Ophélie, atteinte de la fièvre jaune, est sur le point de mourir sous les yeux de Léon, son mari. Dans la parenthèse d’un dernier souffle, une Créature vient à sa rencontre.

Lorsqu’on se regarde trop longuement, qu’on analyse tout ce que l’on fait et ce que l’on est, il est courant de se perdre en route. C’est ainsi que Narcisse s’est fait avaler par cette contemplation. Pour éviter la noyade, il doit se détacher de son reflet et reconquérir ce qui a vraiment du sens, ses amours perdus, ses rêves mais surtout se retrouver lui même.

Sur la scène d’un cinéma endormi, trois musiciens se mettent à jouer devant les fauteuils vides.

Alors que la musique envahit la salle, le grand écran s’emplit d’images ; celles d’un public reprenant vie, le temps d’un morceau.

Jade n’a qu’un seul rêve, celui de voyager dans l’espace. Malheureusement, elle est condamnée à travailler dans un hôtel corrompu par la religion où les habitants pratiquent des cultes avilissants et extrémistes. Témoin d’actes sordides, elle essaye en vain de sauver une jeune femme embrigadée et finit par mettre sa propre vie en danger.